La Puissance des Volcans...

La puissance des Volcans régnaient en maitre dans cette partie du continent. Deux des dix monstres naturelles étaient réveillés, et chaque jour plusieurs tremblement succédé à des coulés de laves. Le Désert était tout prés et on pouvais le voir sans réellement apercevoir sa fin au delà de l'horizon visible.

Assis sur un rocher au sommet d'une courte montagne, un être recouvert d'une cape à capuche sombre tenait entre ses mains une longue épée ombreux. Il était entrain de l'affuter avec une roche tout en regardant au loin, un des deux soleils se coucher, derrière le désert qui paraissait infini. Le Kylbrimien – Habitant de la planète – se protégé de la seconde boule de feu, la plus haute en température, avec sa capuche.

De là où il était, il scruta son entrepôt d'armes prêt à accueillir quelques Ludmars en patrouilles. Ses adversaires prioritaire, les monstres qui n'ont aucune valeur à ses yeux. Il aimais passer beaucoup de temps dans cette région hostile pour méditer et s'entrainer à sa façon.

Son pire ennemi dans des conditions comme sa était le temps; il changeait toujours, en passant des pluies acides au soleil brûlant. Mais sa résistance l'avais fait murir et sa force mentale et physique également. Il était à présent un héros pour son village et était également le modèle parfait des enfants. Son seul problème est qu'il soit différents des autres, car contrairement à la race Kylbrimien il voit, mais en noir et blanc et cela lui fait pitié de savoir que les siens n'ont pas la chance de voir. Pourtant, ils possèdent un sixième sens qui remplace la vue de Kalay ne possède pas.

Un dernier éraflement et Kalay jugea la qualité de la lame rien qu'en la faisant briller au soleil et en passant un doigt sur le côté tranchant de l'arme. Il se redressa et la fit danser autour de lui à plusieurs reprises. D'un coup, il entendit la lame parler. Exprimer ce qu'elle ressentait par un son non habituel. Kalay compris et décida de la ranger dans son étui porté à sa ceinture. Son dos soutenait déjà son arc et son carquois, tandis que sa ceinture en cuire, par dessus sa cape, portait la protection de son arme blanche à demain.

Il s'apprêta à descendre, tête baissé le rocher quand un hurlement de tonnerre déchira le silence qui régnait. Au ciel, une boule de feu zébra le vide, sans contrôle, se dirigeant directement vers le sol entre le désert et les Volcans. Des morceaux de l'objet inconnu se détachèrent et une matière inconnue brilla au contact d'un rayon du soleil. Kalay avait le soleil face à lui, mais ne voyais pas la lumière orangé qui attaqua ses yeux. Seul une vif lumière intense le gêna dans ses repères. Et vit approximativement où la boule de feu venais de s'écraser. Piqué par la curiosité, le Kylbrimien se mit plus en hauteur pour essayer de comprendre le pourquoi du comment sur l'arrivée de ce monstre métallique. Il leva la tête haut dans le ciel et vit une explosion pile au dessus de sa tête. Des nuages – sombres – se dessinèrent là où la déflagration régnait.

Un bruits de fond résonna. Cela ressemblait à un tambour, non cela était un tambour. Un seul, qui était vite traité. Kalay se pencha, ferma les yeux et mit en œuvre son sens de l'ouïe. Au bout de quelques seconde, sa tête fut guidé par une force intérieur et bougea de quarante-cinq degrés. Il leva ses paupières pour discerner un nuage de sable vers le lieu du crash.

Il ouvrit la bouche pour murmurer :

- Ludmars !

Voilà un temps fou que Kalay courrait sur le sol brulant des volcans. Il se trouvait au pied d'un des monstres naturelle et en avait déjà dépassé deux. Sa vitesse de course était élevé. Tout en se hâtant, il tenait fermement son épée, calée à son étui.

Ses pas espacé, il gravit deux rochers avant de faire un léger saut pour rejoindre une zone plate. De là il pris une accélération et en profita pour rejoindre un chemin tracé à force du temps par des charrettes Ludmars.

Sa curiosité de savoir ce qui se passait le poussa à aller plus vite. Il ne voulais pas arriver après les barbares et découvrir que ruines et qui sait, cadavres.

Un intense nuage de fumé s'éleva dans les cieux, tout prés de lui. Il pouvais voir la forme de l'appareille qui venais de s'écraser. Mais il vit également des silhouettes, une demie douzaine d'ombres carré, costaud. Non pas possible ! Il venait d'être devancé par les Ludmars. Fallait faire vite pour éviter qu'ils détruisent le peu de choses ayant peut être survécu au choc.

Il pris son arc d'un long mouvement, une encocha une flèche et à une centaine de mètres du lieu, il leva son arme, pris sa respiration, ferma un œil, tendis la corde grâce à son gant, et porta le cul du projectile juste à deux centimètres de son œil ouvert. Au bout d'une seconde il lâcha prise. En un éclair, la flèche siffla l'espace qui la séparait de sa cible et vint ce planter dans le dos – côté cœur – d'un Ludmars.

Il put percevoir un hurlement de douleur et un son de chute. Puis d'autres cris sauvages retentirent. Il venais d'attirer l'attention...

Son épée pointant vers le bas, d'une vitesse éclair, Kalay fonça, tel un animal féroce vers ses proies pour prouver qu'il fut le plus fort. Il pouvait compter cinq Ludmars tous des balèzes, sans parler du corps de l'un d'eux étendu au sol même. Mais il y avait également d'autres êtres, des gens vêtues d'une façon différente de Kylbrim. Kalay identifia même un monstre en fer d'une grande taille non loin d'eux.

De ses deux mains, il leva son arme haut dans le ciel pour la faire s'abattre sur le premier ennemi. Elle se planta le long du cou et s'enfonça profondément.

Et d'un...

Un deuxième adversaire chargea, son marteau de guerre était plus grand que lui, mais il parvenait quand même à la manipuler avec dextérité. Un coup sur la gauche et Kalay sentit le souffle de l'arme passer à quelques centimètres de son visage. Concentré sur ce combattant, il ne remarqua pas qu'il était encerclé et donc qu'il était piégé. Non, sa ne pouvais pas se finir ainsi ! Pas comme sa ! Pas maintenant !

Il jeta un regard sur la droite, puis un sur la gauche. Il pouvais lire la haine des Ludmars dans leurs yeux et sentir leur barbarie à travers leurs cris et attaques. Ils étaient impatient d'en finir avec lui, pour pouvoir le manger. Oui, le dévorer comme ils avaient commencé avec les inconnus venu du ciel. Il y avait du sang, beaucoup de sang où des morceaux de corps avec des traces de mâchoires jonchaient le sol sableux même.

Kalay serra d'avantage son emprise sur son épée avant de reprendre son souffle grandement et de s'élancer de nouveau sur l'adversaire le plus proche...

D'un sifflement correcte, l'épée esquiva de elle même la hache qui lui barrait la route avant que sa pointe n'atteigne le blason d'un des Ludmars. Malgré que le bras porteur de l'arme blanche était tendus à son maximum, cela ne suffisait pas à blesser voir tuer l'ennemi.

Kalay lâcha un juron avant de frapper – comme un éclair – un être qui arrivait par derrière. Le Kylbrimien c'était accroupi tout en se retourna et sa lame avait fait mouche aux genoux du combattant. Celui-ci tomba sur ses jambes impuissante à présent face à son poids et il s'écroula sur le côté, sans ne pouvoir agir. Un léger nuage de sable s'éleva un court instant.

Kalay tourna autour de lui, attendant le moindre mouvement regrettable de la part d'un des assaillants. Il les menaça de son épée et de son courage.

- £../.$ *_! % ,9+ #è, cracha un des Ludmurs.

Il ne put esquisser un sourire sur ce que venais de prononcer son adversaire face à lui. Non parce qu'il comprenais la phrase, mais au contraire, il ne comprenais rien du tout. Sa culture général de son peuple est très correcte mais celle des étranger... c'est autre chose.

L'homme à capuche fit semblant de comprendre en secouant la tête. Puis, il se mit à lever sa botte gauche avant de broyer la tête du monstre au sol.

Et de deux !

Sans prévenir il frappa de nouveau. Cette fois d'un coup de pied sur un ennemi à sa gauche. La taille masse de la créature n'était rien comparé à la force de Kalay et c'est ainsi qu'un autre adversaire tomba ayant perdu l'équilibre avant d'être d'achever d'un coup d'épée se plantant vite fait dans son cou.

Plus que deux...

Ils étaient cinq contre un seul et à présent le compte était tombé à deux contre un. Pourquoi ? Kalay connaissait les Ludmars de façon plus brutale, plus suicidaire, mais là ils avaient agit de fâçon lente, comme si il n'avais aucune importance à leurs yeux. Mais pour Kalay, ils restent des monstres sans cœur, ni âme.

L'un était face à lui et l'autre...

Un coup de – petit – tronc d'arbre sur la tête lui fit faire deux pas maladroit devant, là où une massue à pic en fer l'attendait. Il tomba net sur le dos – c'était fait exprès – et se retrouva aux pieds d'un Ludmars. Qu'est-ce qu'il était grand. Le point de vue couché était grandement diffèrent de celui de debout. Il avait maintenant l'avantage, enfin, il remarqua qu'au bout d'une seconde qu'il avait lâché son épée lors de sa chute. Elle se trouvait non loin de lui, mais assez pour ne pas l'attraper.

L'autre adversaire se rapprocha, tenant entre ses gros doigts le tronc d'arbre qui avait frappé à la tête Kalay. Il fallait se dépêcher à opérer vite sinon il finirait par être écraser ou pire finir dans l'estomac de ces monstres.

Il glissa sa main jusqu'à sa ceinture, et de là, réussi à prendre son couteau de combat qui le suis depuis son plus jeune enfance. Il empoigna la manche et par réflexe le porta au pied du guerrier. La lame perça la chaussure grotesque et sale du Ludmars. Puis, Kalay fit une roulade sur le côté, et parvint à se relever par la suite et en même temps rattrapa son épée.

Sa respiration était incontrolable, l'adrénaline augmenta, il venais d'échapper à la mort, il avait même peur. Cet être tant fort physiquement et moralement, avait peur... de la mort !

Incroyable que cela puisse être, mais tout le monde à peur dans sa vie, pour une chose ou pour une autre, Kalay ne voulais pas baisser les bras comme sa. Il voulais vivre encore, connaître l'amour, vivre d'autres moments fort avec son village et surtout exterminer les Ludmars. Il possédait une haine immense envers ces monstres balèze.

Le coup sur la tête l'avais un peu assommé mais il eu vite repris conscience de la situation. A présent, il avait son arme et ses deux adversaires étaient dans son champs de vision. Maintenant, il devait étudier et devancer chaque geste d'eux, pour en sortir en un seul morceau.

Un coup de vent chaud lécha le visage de Kalay. Sa capuche vibra légèrement, tandis que le sable fouetta le bas de sa cape au niveau de ses bottes.

Le cocon de métal (capsule) était étendu sur le sol, plusieurs de ses parties étaient réparties un peu partout sur un diamètre d'un kilomètre. Des êtres venues du ciel, comment cela était-ce possible ? Serait-ce des Dieux ? Non les dieux sont immortel hors les hommes et femmes étrangers étaient là au sol, ayant rendu l'âme.

Cette vision l'effraya, il crispa de plus belle son emprise sur la manche de son arme. Ce combat était trop long pour lui, il fallait en finir vite. Les deux Ludmars possédaient des armes dévastatrice et lui seulement une simple épée, dont il savais manipuler avec dextérité et eux ridiculement. Il se moqua même intérieurement de leur sort. Ils servaient une caste, celle des Barbares qui ne connaissait aucune pitié envers leur adversaire, voir même entre eux lors des altercations entre clans.

Sa respiration contrôlé, il s'élança de nouveau...

Un coup sur l'un, puis un autre, le plat de la lame frappa et déstabilisa ses cibles. Une occasion se présenta à Kalay, et d'une feinte, il attaqua férocement sous le bras de celui qui maintenait entre ses mains. Du sang violet/noir s'échappa de cette petite plaie. Mais Kalay ne s'arrêta pas la. Aussi agile qu'un léopard, le Kylbrimien passa de droite à gauche tout en donnant des coups dans les failles extérieurs visible. A plusieurs reprise, il esquiva des coups portant de l'autre adversaire mais à chaque fois d'un poil prés.

Une fois au dos de sa prochaine victime, il n'hésita pas à donner le coup mortel. Son épée s'enfonça et brisa même la colonne vertébral en un craquement direct. Il tourna son arme avec ses deux mains et la retira prenant appuie sur l'être sans vie. Du sang noir et épais recouvrait la lame. Kalay contempla cet œuvre et laissa échapper un rire sadique sur son visage terne. La masse imposante du Ludmars s'effondra, et rejoignit ses quatre autres camarades.

Et voilà, maintenant le combat n'était plus de taille, malgré que six contre un étaient difficile, Kalay aimé avoir peur sans sans rendre compte. Combattre seul était suicidaire déjà face à un seul Ludmars alors contre une demie douzaine. Que du bonheur ! Un duel attendait l'homme. Mais qui le gagnerais ? Mais qui irait prendre un trophée sur le perdant ? Mais qui survivra encore un certain temps ? Et quand ce combat ce terminera ? Déjà, il fallait savoir où était le dernier survivant.

Kalay chercha du regard et de son sixième sens... Aucun danger. Avait-il disparu ? L'avait-il tué ? Avait-il fuit ?...

La dernière hypothèse était la bonne. En effet, il pouvais voir non loin, une silhouette s'éloigner de la zone du crash mais se rapprochant des Volcans. Le Kylbrimien pris peur. Si le Ludmars arrivait à son entrepôt, qui sait ce qui se déroulera. Non, il n'arrivera jamais là bas avant lui. Mais l'état de Kalay était tombé à l'épuisement, et c'est par faible vitesse qu'il se mit à courir à la poursuite du fuyard après avec nettoyé et rangé son arme dévastatrice.

Au fur et à mesure qu'il avançait, il pensait ne jamais le rattraper dû à la fatigue qui s'empara de son esprit. Il fallait à présent qu'il combatte son propre corps, lutter contre les conséquences de ses efforts et surtout, tenir. Sa vie, son destin était en jeu, si il lâchait tout, il perdrait alors tout et ne sera plus qu'un amuse gueule pour les animaux féroce et sauvage tel les Ludmars indomptable.

Cela faisait quelques temps qu'il erra entre le Désert et les monstres Volcanique. Il avait qu'une seule envie à ce moment là, qui n'était autre que de se reposer dans un lit douillé.

Au dessus de cette zone, le ciel était remplis de nuage rouge, un événement typique ici, dû aux rejet de mainte organisme venant de sous la planète elle même. Un spectacle que Kalay ne s'en passera jamais.

Il arriva au pied du mont rocheux, élevé de quelques degrés, une pente non difficile à grimper emmena à son repaire.

Aucun mouvement louche à signaler... mauvais signe. Où était le lâche ? Il jouait à cache cache que Kalay n'aimait pas ce jeu enfantin. Ils étaient en guerre, un duel est un combat à mort dans des conditions comme celle-ci et un Ludmars se contenta de jouer avec lui. Une situation insolite que le Kylbrimien ne se privera pas de conter aux siens.

Il retira délicatement son épée sans faire aucun bruit, tout en pénétrant dans la grotte artificielle créée par lui même durant de longues années. Les murs orangé, des tables et des chaises en bois, des tonneaux d'eau et une ''fontaine'' de lave étaient les seuls choses présentent avec quelques piliers en roche que Kalay n'avais pas enlevé.

Prudemment, il avança ses yeux ne cessant de bouger dans les sens. Il monta des escaliers courts et tomba sur une salle où des dizaines de tonneaux étaient remplis de flèches et d'épée créée à la main par lui même. Il n'y avait aucune autre issue de sortie, donc son ennemi devais se cacher dans la pièce humide.

Un pas, puis un autre, et encore un autre, rien de particulier jusqu'à qu'un bruit de fer tombé raisonna à sa gauche. De sursaut, il se retourna et aperçut le Ludmars charger - à main nu – Kalay qui eut le temps d'esquiver en faisant une roulade sur le côté. Il c'était relevé d'un bond pour sortir de la pièce voulant attirer son adversaire à l'extérieur, dans un endroit où rien de ses objets fabriqué n'était mis en dangé.

Sa cape siffla l'espace d'un instant. Le cri de rage du monstre tonna et fit vibrer les mur. Non, ce n'était pas lui qui faisait sa, mais, le volcan lui même...

La nature venait de réveiller une de ses création. Les murs, les meubles et les armes, tout se mit à trembler, un vacarme agita les oreilles de Kalay. Il ce dépêcha vite de sortir de cet endroit, et courut, aussi vite que ses jambes pouvaient faire. Il vit des gros rochers inégale l'un des autres, glisser le long de la montagne, pour continuer sa route, il ne sait où. Il ne savais pas tout ce qui se déroulait, mais il connaissait une chose : la fin de sa production. Si le volcan était entré en éruption, il fallait s'attendre à une coulée de lave durant plusieurs jours et celle-ci irait refaire les trous causé par l'homme. Impossible de récupérer le minimum, avec l'instabilité des murs et la présence d'un Ludmars dans cette grotte.

Kalay remarqua pour la première fois de sa vie qu'il faisait chaud dans cet endroit, hors dans les cartes répertorié, il était en plein climat froid. Ceci dû surement à la présence de beaucoup de Volcans crachant de la chaleur.

Une explosion fit perdre l'équilibre au Kylbrimien. Il trébucha et s'étala sur toute sa longueur sur le sol sableux. Il se sentit sur le coup gène. Même si il savais qu'il était seul il avait honte de lui. Il ne perdit pas confiance et se releva pour s'aventurer le plus loin de cet endroit. Il courut, ses armes dans le dos le génèrent mais il s'en moqua pour le moment, il ce préoccupa plutôt de sa vie.

Il transpira, sa gorge sèche réclamait à boire, tandis que son corps était à bout, mais il força quand même, luttant contre la mort. Son allure diminua au fur et à mesure jusqu'au moment où il marcha comme un escargot, c'est à dire long. Son corps se balançant de droite à gauche, d'avant en arrière, il en pouvais plus. Abandonner maintenant alors qu'il avait fait tout ce travaille au delà de ses limites était intolérable, il fallait continuer.

Il se retourna et vit au loin la dizaine de volcan dont un seul était actuellement en activité. De la lave rouge sang déferlait jusqu'au sol formant un lac de feu. Une partie de la montagne se déchira et le rôle de barrage qu'exerçait cette section du Volcan laissa échapper une plus grosse coulé de lave.

- Et de six, murmura Kalay avant de tomber raide sur le dos, inconscient, sous le soleil couchant.

Les secousses du chaos parvinrent même jusqu'ici. L'apocalypse régnait là bas, et cette région serait inaccessible durant les prochains jours voir plus, tel était La Puissance des Volcans...

(Hors Rôle Play/Ouvert) Fin de la partie des volcans (Un total de 3282 mots), maintenant, je vais m'attaquer au Désert pendant quelque posts ! (Hors Rôle Play/Fermé)

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